Une Divine Surprise Suite – 6

Dimanche 21 août 1960 – Chez elle

Comme convenu j’arrivais chez Evelyne vers 7,00 heures du soir, rangeais ma mobylette dans le garage à vélos. Personne dans l’entrée de l’immeuble, comme demandé je frappais (la sonnette faisant trop de bruit) la porte s’ouvrit aussitôt, Evelyne devait être derrière. Aussitôt à l’intérieur, dans la pièce que j’avais déjà connu quelque temps avant, nous étions l’un contre l’autre à nous embrasser, à nous frotter, en fait Evelyne avait l’art de rouler des hanches, ce qui entrainait rapidement et immanquablement une enflure au niveau braguette, ce qu’elle semblait apprécier à chaque rencontre. Enfin nous nous décollâmes et je pus la regarder. La surprise. Elle portait un chemisier certainement une ou deux tailles en dessous. Le décolleté, très échancré, commençait à partir d’un bouton fermé au niveau du dessous de la rotondité des seins, qui gonflaient généreusement le corsage, mais ne pouvaient pas s’en échapper. Il était d’un tissu presque transparent ce qui permettait de deviner le sombre des aréoles et tellement fin qu’il risquait d’être percé sous la pression des mamelons, tellement ils étaient dressés. La minijupe noire, réellement mini avait été cousue sur elle et lui arrivait à mi cuisse, ce qui permettait d’admirer, non seulement son joli cul, mais aussi ses jolies cuisses, pas des cuisses de moineau, mais de belles cuisses. Enfin, elle était chaussée de ses éternels escarpins qui devaient bien lui faire gagner une dizaine de centimètres.
Moi : « Quelle élégance, tu me surprendras toujours par ton élégance hors des tenues au magasin »
« C’est vrai, au magasin c’est un peu un uniforme, je ne pourrais pas m’habiller ainsi. »
« Moi, je te trouve superbe et excitante »
« Mon mari m’a traité de tous les noms la première fois que j’ai voulu sortir avec. Il voulait que je la jette, mais je l’ai gardée pour une occasion. Elle c’est présentée, c’est toi et c’est pour toi que je l’ai mise, j’espérais que ça te plairait et je veux que tu passes, que nous passions une soirée inoubliable, car tu pars bientôt, je veux me soumettre à tous tes désirs, à toutes tes envies et à toutes mes envies »
« Tu es splendide, viens j’ai envie de libérer tes seins qui ne demandent qu’à prendre le large »
« Installes toi, j’ai préparé un apéritif, je vais le chercher, après, tout ce que tu voudras, j’espère que tu auras de l’imagination, car moi j’ai d’autres surprises pour toi, installes-toi, je reviens »
Elle partit en balançant son joli cul, je suis persuadé qu’elle augmenté volontairement ce balancement, qui était d’autant plus suggestif, que la mini l’enveloppait et qu’elle n’entravait pas la démarche comme le faisait les jupes droites.


Quelques instants après : « J’arrive avec de quoi boire » En fait, elle avait ouvert son corsage, ses seins étaient libres et elle tenait un plateau sur lequel, il y avait 2 verres, mais le plateau était tenu à une telle hauteur que de ma place j’avais l’impression que ses seins étaient posés dessus.
Je lui pris le plateau des mains, le posais sur la table et prenais en bouche ses seins disant : « Je préfère ça comme apéritif » et je m’occupais sérieusement de ses rotondités les léchant, les suçant, se laissant faire et même me poussant à m’occuper d’eux en les tenant à pleine main et me les présentant, les offrant à ma bouche : « Oui, … c’est bon, … continues, … j’aime quand tu les têtes, … continues, … », mais j’avais un autre idée en tête, celle d’aller voir plus bas, c’est ce que je fis, avec sa mini, il m’était facile d’atteindre son entrejambe, sa chatte. C’est ce que je fis, en arrivant dans sa chaude intimité, elle avança gentiment son bassin me permettant l’accès à sa grotte d’amour était libre et sans entrave.
Elle était chaude et humide, même très humide, je la pénétrais sans précaution de deux doigts dans un souffle j’entendis « Ooohhh, … Ouiiiiiii, … ». Ma bouche buvait ses seins, mes doigts chauffaient sa chatte, son souffle suivait le rythme de mes entrées et sorties de sa grotte dégoulinante de plaisir. Ayant enfin descendu au niveau de ma braguette et en lutte pour l’ouvrir dans un souffle elle me dit « Défais toi, … vite, … » Pantalon, caleçon, le tout fut éjecté, quand elle me poussa sur une chaise. Assis, ma hampe avait fière allure, elle m’enjamba et prit la chose en main et en me guidant vers sa grotte qui était toujours chaude, humide et ouverte car elle s’empala sans une difficulté. Etant donné la position c’est elle qui était à la manœuvre et qui imposait son rythme. Je la tenais par les hanches quant à elle, elle montait et se laissant tomber s’empalait sur ma hampe dressée fièrement, je ne faisais que subir, certes avec plaisir, mais en fait j’étais son sextoy, comme on dirait maintenant et elle en jouissait pleinement.
Soufflant quand elle s’empalait, le tout avec des exclamations qui ponctuaient son plaisir et surtout la montée de son plaisir : " Occupes toi de mes seins, .., suces les, … lèches les, …, j’aime qu’on les tête pendant qu’on baise,…, retiens toi, je sens que je vais jouir, …, Ho, ... ho,… ne t’arrêtes pas , … , restes dur, … retiens toi, qu’on en profite, …»
Selon son désir je lui cramponnais les seins et je les malaxais avec énergie, ce qui ne semblait pas l’incommoder bien au contraire. Je pense qu’elle aimait ce traitement, ses mamelons pointaient fièrement et étaient durs.
Tout d’un coup le rythme ralentit, elle montait lentement et se laissait pénétrer avec une lenteur qui semblait étudiée. « Oh, …, je sens que ça vient, … je vais jouir, …, OUIIIIIIIiiii, …. » et elle eu un spasme aussi puissant que brutal, se cramponnant à mes épaules, resserrant ses cuisses, expirant et pratiquement en se pliant en deux. J’avais, un tout petit peu plus tôt, déjà tout lâché et certainement rempli sa grotte de mon jus, il y avait, même, du avoir des débordements, car il y en avait partout. Pendant que la nature faisait son office et que reprenant mon souffle, je quittais sa grotte d’amour, elle resta contre moi à reprendre, elle aussi, son souffle.
Se remettant elle me dit : « Ce n’était pas ce que j’avais prévu comme apéritif »
Moi : « C’est celui que je préfère, j’aimerais bien avoir une autre tournée »
Evelyne : « Tu as un verre devant toi, c’est la tournée suivante et calmes toi, à ce rythme tu ne tiendras pas la soirée »
Moi : « Waouh, c’est une invitation pour la soirée, on peut encore rêver ? »
Evelyne : « Je t’ai invité à diner, mais tu peux rester coucher ici »
Moi : « Dans mes rêves les plus fous c’est que je souhaitais, passer la nuit avec toi »
Je me précipitais vers elle la prenais dans mes bras et l’embrassais dans le cou tendrement. Elle accepta les baisers, puis s’éloigna : « Hope, hope, arrêtes, je sais comment ça commence et comment ça fini, je dois m’occuper du diner.
Toi mets la table, tout ce qu’il faut est dans le buffet derrière toi, moi je vais à la cuisine ». Chose dites choses faites et nous nous retrouvons à table.
Nous mangeons rapidement, le diner terminé, la table desservie, Evelyne s’éclipse dans la salle de bain en disant : « Cinq minutes, je reviens »
Avant le diner et pendant celui-ci j’avais vainement argumenté pour qu’Evelyne enlève complétement son corsage quand nous étions à table, elle n’avait accepté que d’augmenter son décolleté d’un bouton supplémentaire. Piètre victoire. En fait je réalisais que cette femme faisait exactement ce qu’elle voulait, comme elle le voulait et que tout bien considéré j’étais un peu son « jouet ». Elle avait envie de se faire sauter, j’étais arrivé au bon moment. En réfléchissant bien, mon coté « mâle » en avait pris un coup, mais en allant plus loin, je me disais « tu as eu une belle femme qui s’est donné à toi, tu l’as fait jouir, elle t’a fait jouir, alors que demander de plus, profites de ces moments ». Ainsi raisonné, le moral était remonté au beau fixe et « popol » avait des intentions visibles. Je me demandais ce que faisait Evelyne, alors qu’il n’y avait aucun bruit, en fait perdu dans mes pensées, je n’avais peut-être pas prêté attention à ce qui se passait dans l’appartement. Enfin une porte s’ouvrit et Evelyne « apparut ».
« Wouahh, ». Alors là, la grosse surprise. Evelyne arrivait du fond de la pièce, vêtue, pour la forme, d’un genre de sortie de bain, mais pas en gros tissu éponge blanc, non, en tissu fin noir absolument transparent, lui arrivant au haut des cuisses, disons pratiquement ras la touffe ce qui ne cachait rien et mettait en valeur ses seins, avec vue imprenable sur son triangle de poil entourant sa chatte, enfin en dessous elle avait un porte jarretelles et des bas noirs fins et était chaussée de mules à talons. Les cheveux libres encadrant son visage légèrement maquillé, une beauté.
Moi : « Quelle beauté, quel style, il ne manque que les projecteurs pour t’éclairer »
Evelyne : « Ça te plait, je l’ai acheté pour toi, tu seras le seul à me voir ainsi »
Moi : « Pourquoi, tu es très excitante ainsi et cela te mets en valeur »
Evelyne : « N’en parlons plus, viens, je veux profiter de toi »
Je m’approchais d’elle et la prenais dans mes bras, sans hésiter elle se colla à moi, son roulement de hanches commença et dans l’oreille elle me dit, non elle me murmura : « Ne parles plus, … prends moi, … comme tu veux, … cette nuit est à nous,… je veux être à toi, … je veux que tu me fasses jouir, … ne cherches rien,… je suis là avec toi, je te veux,… je veux te sentir me prendre, …, oui, … ».
J’ouvris son déshabillé et commençais à m’occuper de seins dont les mamelons pointés dangereusement, elle me les donnait à sucer, lécher, … La table n’étant pas loin, elle se laissa pousser jusqu’à elle et sans hésiter s’assit dessus. Elle se coucha sur la table, écartant largement les cuisses : « Viens, … lèches moi, … j’aime, … ». Une fois de plus l’odeur de son intimité me grisa et j’embrassais ses grosses lèvres, ma langue suivait et pénétrait le sillon de ses grosses lèvres, humides et chaudes. Je commençais à peine à m’occuper sérieusement de sa chatte que déjà, Evelyne s’excitait, cramponnée à la table, les jambes largement ouvertes : « Ouiiiii …., continues, …., OOOhhh, c’est bon, … … lèches moi, …suces moi, …j’aime sentir ta langue parcourir ma chatte avant d’y rentrer, …, ça me fait couler, …, j’aime te sentir me désirer, …». Le jeu dura un peu et cela lui plaisait et elle le disait, quand tout d’un coup ses cuisses se resserrèrent sur ma tête et elle dit : « Arrêtes, … arrêtes, … on sera mieux au lit, … je l’ai préparé, … Viens vite, je veux te sentir dans moi, … mais avant …». Avant de se laisser glisser de la table me regardant droit dans les yeux, les cuisses bien écartées, elle glissa deux doigts dans sa chatte et fit 3 ou 4 va et vient en me disant : « Je prépare ton arrivée, …tu aimes me voir me caresser, … tu veux que je continue, … non,… j’arrête, sinon je vais me faire jouir, … c’est à toi de me prendre,… viens, …». Elle suça ses doigts et me les tendit pour que j’en fasse autant. Cela eut le don de faire monter la pression d’un cran. Elle se laissa glisser et m’entraina vers la chambre, où, effectivement le lit était prêt.
Elle s’assit sur le lit, ma tige étant à sa hauteur, elle la prit en bouche et commença à me pomper avec ardeur suivit de coups de langue sur le gland, ce qui augmenta la pression, pour enfin me dire :: « Je pense que tu es est prêt, … ». Alors elle enleva sa nuisette et nue avec seulement son porte jarretelle et ses bas, elle se coucha écarta les jambes et « Viens, je suis prête, … je suis toute excitée, … bonne à consommer de suite, … je veux tes lèvres, … tes doigts, … fais moi jouir,… baises moi, … je suis ta garce, qui te veux, … viens lécher ma chatte, …». Je m ‘exécutais, les cuisses largement ouvertes et sa chatte gonflée et luisante de mouille. Plongeant entre ses cuisses bien ouvertes, je reprenais le travail laissé en suspend quelques minutes plus tôt, mais avec de nouvelles consignes : « OUIIIII, tes doigts pour me préparer à ton arrivée et me faire couler, … oui comme ça, … enfonces moi, …tes lèvres pour me lécher et me boire, … OOOhhh … OUIIIIII, … encore, … c’est bon, … continues, … ». Avec deux doigts, je m’occupais sérieusement de sa chatte et mon pouce tentait quelques incursions dans sa rosette, que j’avais remplie de mouille avant. Je m’occupais de ses deux trous, au son, elle semblait apprécier. Puis vint : « Tu aimes, … dis moi que tu aimes, … viens prends moi, …je suis ta femelle, … je ne suis plus qu’un sexe, … Viens, prends moi, … ». Alors que j’allais passer sur elle, elle m’arrêta : « Attends, … pas comme ça, … » et elle se retourna, se mit en levrette, avec la tête dans l’oreiller le cul bien en évidence, « je veux que tu me montes, … j’ai envie d’être montée, … prends moi comme ça, … je suis ta chienne, … monte la, …» alors que je m’approchais, elle prit ma tige et la guida vers sa moule, chaude et humide et cramponné à ces hanches je l’a baisée avec énergie et application.
Evelyne toujours son joli cul en l’air et pendant que je m’appliquais à la baiser, posa ses mains sur ses fesses et les écarta, me montrant sa raie bien ouverte, aussi sa jolie rosette. « Ça te plait toujours autant, comme ça ». Me dit t’elle.
Moi : « Oui, t’as toujours un joli cul »
Evelyne : « Tu le veux, ...prends le, … je savais que tu le voudrais, … je me suis préparée ce week-end pour te l’offrir, …». Honnêtement, je fus surpris, d’autant que ma hampe coulissait à merveille dans sa moule, mais je fus rapidement rappelé à la réalité. « Alors, … tous les hommes aiment nous prendre par là, … oui, … viens, … encules moi, … oui, j’en ai envie, … ». Je me positionnais : « Rentres doucement que je m’habitue, … oui, comme ça, … OOOHHH, t’es gros, … doucement, … OOOHHH, … ça y est, … ». Effectivement, elle m’avait complètement absorbé et j’étais sous pression, il fallait que je m’éclate dans son cul ou ailleurs, j’y allais donc à grands coups de reins, ce qui d’ailleurs était apprécié par ma partenaire, qui ne cessait de m’encourager dans la voie qu’elle avait choisie, celle de son joli cul, et je me rendis compte que pendant que je la sodomisais, sa main droite c’était dirigée entre ses cuisses et avait entrepris de caresser sa chatte, en fait pendant que je m’occupais de sa rosette, elle s’occupait activement de son abricot et se branlait, là plus de paroles, elle devait intérioriser son plaisir car si elle s’activait dans sa chatte, moi j’en faisais autant son joli cul. D’un seul coup elle cramponna l’oreiller, eut un spasme brutal, avec un « OOOHHH, … OUIIIII, … » elle resserra les cuisses, heureusement j’étais entre, car je n’avais pas fini, étant donné qu’une heure avant elle m’avait vidé, cependant la pression montait, je bandais dur et il me fallait vider la réserve, mais étant donné qu’elle avait abandonné son abricot, je quittais sa rosette et me dirigeais vers sa chatte que je préférais à son joli cul, le fourreau était plus ouvert plus accueillant et surtout mieux lubrifié. A ce changement, Il me sembla que la pénétration dans sa chatte ne fut pas trop appréciée: « OOHH, non, … arrêtes, … arrêtes STP… », disant cela elle remua du cul comme si elle voulait se dégager de ma queue encore gonflée et qui ne demandait qu’une chose d’en finir en se libérant son jus. Mais j’étais cramponné à ses hanches et je la baisais à grands coups de reins. Evelyne de nouveau remua du cul, agacé, je lui collais une grande tape sur les fesses, ce qui entraina une contraction agréable et : « Salaud, …, arrêtes, … » mais je ne pouvais m’arrêter, il fallait que je me vide et j’étais au bord de l’explosion, de nouveau un coup de cul, suivi de ma part d’une claque sur les fesses, et une nouvelle contraction du corps de ma partenaire et d’un : « Salaud tu profites, …, OOOHHH, OUIIII…, encore, …, je sens que tu vas me faire jouir, … ouiIII, encore, … », vue les réactions tant du corps que des paroles, j’abusais et de nouveau une claque sur l’autre fesse : « OOOOOHHHHH, …., ne t‘arrêtes je vais jouir, … OUIIII, … , OUIIIIII, … »,enfin le plaisir était monté et je crachais tout mon jus, dans ma partenaire, qui extériorisait son plaisir par une série de spasmes, moins forts que les précédents mais plus nombreux. « Prends moi dans tes bras et fais moi faire un câlin, et tu partiras ». Il ne fallut que peu de temps avant qu’Evelyne ne s’endormit et moi ensuite en fait nous nous écroulâmes fatigués, vidés.
Dans le courant de la nuit en fait vers trois heures du matin, Evelyne s’était collé contre moi et cela m’avait réveillé, je n’avais pas l’habitude de partager mon lit avec une autre personne, sa présence me réveilla, et je réalisais où j’étais, et j’avais l’impression que des mains parcouraient mon sexe et que celui-ci grossissait de façon démesurée, ce qui me réveilla.
En fait, encore à moitié endormi, je constatais que si mon sexe grossissait c’est qu’effectivement Evelyne s’en occupait et me caressait du bout de ses doigts, puis l’état devant la satisfaire elle entreprit de me lécher la tige avant de la prendre en bouche, suçant le gland comme elle aurait sucé, léché une glace, ce qui eut pour effet de me réveiller complétement. Sentant cela, Evelyne arrêta (dommage) et remonta, enfin collé contre moi, elle me dit dans un souffle : « Jean, …, aimes moi, …, je voudrais que tu m’aimes, … oui, j’aime le sexe, je suis gourmande de sexe, … tu as su me satisfaire., montres moi que tu peux être aussi un amant attentionné et doux, … fais moi l’amour, … je voudrais que tu m’aimes, … fais moi l’amour… , viens, aimes moi, …».
Sur le moment je ne comprenais pas clairement ce qu’elle voulait que l’on fasse, je le compris ultérieurement, avant on avait baisé, c’était physique, maintenant, on faisait l’amour, il fallait du sentiment. Mais étant donné sa position, sur le dos et les cuisses bien ouvertes Je prenais position sur elle entre ses cuisses, elle me saisit et me guida en elle. M’ayant encerclé de ses jambes, elle se cambra pour mieux se faire pénétrer. Elle était ouverte, chaude, ruisselante de plaisir : « Je t’attendais, … je me suis donné à toi, …, je savais que tu saurais me faire l’amour, …, ouiIII, …, prends moi, …j’aime te sentir me prendre, …., donnes moi du plaisir, … je t’en donnerais … »
Bien enfoncé dans sa chatte, je décidais avant de lancer une sérieuse offensive sur et dans sa grotte, de m’occuper de ses seins qui se trouvaient à portée de bouche, ce que j’entrepris systématiquement les léchant puis les aspirant, le gauche puis le droit, et je recommençais. Puis j’abandonnais ces jolies rotondités pour me consacrer à son fourreau bien chaud et bien lubrifié où ma tige coulissait pour le plaisir de sa détentrice qu’elle manifestait bruyamment et pour mon plaisir : « Oui, … continues, … aimes moi fort, … plus vite,… je sens que ça vient, …OUIIII, … continues, remplis moi de toi, … ». Je m’activais au mieux, pour la satisfaire et pour mon orgueil l’entendre le dire, quand elle partit d’un seul coup : « OUIIIII, … c’est bon, … OUIIIII, … OOOOHHH, je jouis, ...», non seulement je l’entendis, mais elle se cambra brutalement en s’accrochant à mes épaules, laissant dans mon dos quatre belles griffures et de nouveau nous sombrâmes dans un sommeil réparateur.
Le matin vers 7,00 heures nous émergeâmes difficilement. Evelyne me voyant émerger, se pencha sur moi, mis un doigt sur ma bouche et me dit : « Tais toi, dors, je reviens ». Surpris je fis ce qu’on me dit et fermais les yeux, enfin à demi. J’eu alors l’explication. Au saut du lit Evelyne n’était plu la « pin up » du soir, les cheveux en bataille, un bas en tirebouchon, … le drame pour chacun d’entre nous au réveil après une nuit un peu agitée. Une petite demi-heure plus tard Evelyne arrivait et me réveillait. Elle était fraiche, recoiffée légèrement maquillée et vêtue d’une sortie de bain, fermée par une ceinture, lui arrivant à mi cuisse, l’ensemble malgré tout sexy. « Allez, lèves toi, gros paresseux, tu peux prendre une douche pendant que je prépare le petit déjeuner ». Exécution, et pendant que je me refaisais une beauté ( ???) deux questions me tarabustaient, la première était que dans un moment j’allais devoir dire « au revoir » ou même « adieu » à Evelyne, comment devais-je m’y prendre ? La deuxième étant, à mon avis, liée. Evelyne était vêtue de cette sortie de bain que je trouvais sexy. En principe, pour moi, après la douche on s’habille pour la journée, on ne se vêt pas d’une sortie de bain. D’où le problème, était-elle nue sous sa sortie de bains ? Si la réponse était positive. Est-ce que ce serait une invite discrète pour quelques caresses avant un départ,??? Et comment aborder ce départ en tenant compte de la sortie de bains et quand même d’un minimum de courtoisie après ce qui c’était passé entre nous. Certes, j’étais pratiquement certain de lui avoir donné du plaisir au même titre qu’elle s’était donné du plaisir en m’en donnant. Dans cet état d’esprit je me présentais pour le petit déjeuner. Celui-ci terminé Evelyne regardant sa montre me dit, « On va se séparer tu pourras partir, il n’y aura plus personne, tout le monde doit être parti au travail ». Je m’approchais d’elle, la prenant dans mes bras et la serrant fort, je l’embrassais. Il y eut un instant de résistance, mais les lèvres s’entrouvrirent, puis s’ouvrirent et nos langues se retrouvèrent, je quittais ses lèvres pour son cou, il y eut dans un souffle un « OOOHHH » langoureux. L’affaire me paraissait être en bonne voie, et je pensais qu’il faillait aller de l’avant. Du cou, je descendais dans le décolleté cherchant les deux belles rotondités qui me semblaient vouloir percer le tissu. Sans difficultés j’atteignais leur agréable souplesse, ceci avec l’aide discrète d’Evelyne qui avait laissé s’ouvrir plus largement son décolleté, sans pour autant dénuder ses jolis seins, il fallait progresser lentement, mais à chaque prise en bouche un « OOOHHH » donnait son assentiment à la chose. D’autant qu’elle avait la ou les mains sur ma tête et me guidait vers l’un ou l’autre de ses « jolis nénés ». Ma bouche s’occupant activement du haut, je décidais de laisser glisser ma main droite vers le bas afin d’y atteindre son intimité, qui, j’espérais serait nue et accessible. J’écartais les pans de la sortie de bains et atteignais son abricot, avec à aussi l’aide discrète de ma partenaire, qui avait légèrement, très légèrement mais suffisamment écarté les cuisses et avancé imperceptiblement son bassin ce qui me permit d’atteindre le but. Là, de ma main, je couvris complètement sa chatte, là tenant bien au chaud. Cette incursion eut droit à son « OOOHHH » discret. Lentement de mon majeur je remontais le sillon de sa moule, puis je redescendais, à chaque passage, je m’enfonçais un tout petit peu plus ce qui entrainait une augmentation importante de son humidité, mais déclencha aussi, un genre de mécontentement chez Evelyne : « Arrêtes, … STP, arrêtes, … ou rentres, … tu veux que je te le demande de prendre ainsi, … oui, rentres, prends moi, j’en ai envie, … ». Demandé comme cela je ne pouvais refuser d’autant qu’elle avait largement écartée les cuisses et son bassin s’était propulsé sur mes doigts, qui se mouvaient dans des va et vient frénétiques, il fallait la faire « grimper aux rideaux » et je m’y employais, les seins tétés, la chatte travaillée en effervescence, tant et si bien que : « Oui, … continues, …, OOOHHH OUIIII, c’est bon, … OUIIII, … défonces moi avec tes doigts, …, j’aime, … je sens que ça vient, …, ne t’arrêtes, …, OUIIIIIII, …, continues, … , OOOOHHHH, ….». Elle eut un gros spasme qui l’a projetée en avant, puis deux plus petits qui lui firent fermer les cuisses, coinçant de ce fait ma main dans son intimité. Enfin reprenant ses esprits, elle se laissa glisser à mes pieds en disant : « A moi de m’occuper de toi », alors que je voulais me défaire : « Laisses moi faire, je veux sortir moi même ton engin, j’aime le sentir dans ma main, … ». Elle défit pantalon et caleçon dont elle dégagea l’engin comme elle dit. Avant de commencer à lécher ma trique et la prendre en bouche elle me caressa du bout des doigts elle ne fit qu’augmenter la pression. J’avais l’impression d’avoir un engin qui allait exploser. Enfin elle se mit à sucer mon gland, sa langue le parcourant, le léchant puis avalant ma tige, l’aspirant, j’avais un fourreau chaud et humide qui enveloppait et parcourait mon sexe et sa langue titillant le gland avec douceur et ses doigts continuant à me caresser. Il ne fallut pas longtemps pour sentir que la pression montait et que, malgré les excès de la nuit, rapidement j’allais cracher mon jus. Je la prévenais, mais cela ne fit qu’augmenter l’activité de sa bouche et de sa langue sur « popol », qui n’y tenant se soulagea dans la bouche d’Evelyne qui absorba tout ce qui était mis à sa disposition. M’étant soulagé, elle prit ma tige en main et un dernier coup de langue sur le gland termina l’opération. Se relevant, elle se colla contre moi et me dit : « Va-t-en, … vite, … stp, … »
Je filais chercher ma mobylette et en sortant, j’étais obligé de passer devant la fenêtre de la salle à manger du logement d’Evelyne. Jetant un dernier regard, il me sembla voir la silhouette d’Evelyne sur le coté de la fenêtre, mais mon imagination avait du bien travailler.
Je rentrais donc au campus, fatigué, mais je devais me préparer à partir le lendemain, en emmenant toutes mes affaires (une cantine) et nettoyer la chambre pour la remettre au responsable.
Le lendemain, avec un copain ayant la même destination nous avions décidé de faire route ensemble dans sa 2CV. Après avoir remis les clés des chambres, chargés la voiture, on devait passer au magasin pour que je puisse faire mes adieux. J’arrivais au magasin Odile était là et naturellement je me renseignais pour aller saluer tout le monde, le patron était absent ainsi qu’Evelyne. Je m’inquiétais de son absence quand Odile me dit : « Tu ne l’as pas vue dernièrement »
Moi : (Après une hésitation due à la surprise) « Non, pourquoi ? »
Odile : « Depuis 5 ans que je travaille avec elle, elle n’a jamais manqué une seule fois et depuis ses derniers quinze jours non seulement elle n’est pas comme d’habitude, mais en plus elle s’est absentée la semaine dernier et aujourd’hui elle m’a fait savoir qu’elle n’était pas bien. Je m’inquiétais ? »
Moi : « Désolé, si tu la vois souhaite lui de se rétablir rapidement »
Et nous prîmes la route.

Un an après je repassais par Lyon pour entre autres revoir des copains et naturellement je passais au magasin. C’est Odile qui m’accueillit. Je demandais des nouvelles de tout le monde et d’Evelyne, c’est ainsi que j’appris qu’elle avait quitté son travail et qu’elle avait divorcée, ayant appris, d’après Odile, que son mari avait une maitresse !!!!

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